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L’incontinence urinaire masculine se définit comme la perte involontaire d’urine. Ceci survient fréquemment lors d’un effort, de toux ou de port de charge lourde par exemple ou du fait d’urgences mictionnelles (urgenturies). Plusieurs mécanismes peuvent engendrer une telle symptomatologie. Il peut d’agir d’une incontinence urinaire dite « par regorgement ». Dans ce cas, la vessie, qui a du mal à se vider, est trop pleine et se vide alors du fait de l’hyper pression abdominale engendrée par un effort. La cause de l’incontinence est alors celle de la mauvaise vidange vésicale, le plus souvent dû à un obstacle sous vésical. Chez l’homme il peut alors s’agir soit d’une hypertrophie de la prostate soit d’une sténose de l’urètre. Certains rares cas de vessie trop pleines peuvent être dûs à un défaut de contraction vésicale. Les atteinte micro nerveuses du diabète sont alors une des causes principales. L’incontinence urinaire sur hyperactivité du détrusor est rare. Le muscle vésical est contraint par une agression extérieure et se contracte involontairement. L’incontinence urinaire est volontiers précédé d’envie irrepressible d’aller uriner. Les causes notables sont alors les polypes de vessie, les calculs, les conséquences de la radiotherapie… L’incontinence urinaire chez l’homme relève cependant la plupart du temps d’une insuffisance sphinctérienne. Le sphincter urétral est le muscle qui permet de se retenir lors des envies d’uriner. Il peut être fragiliser au décours des différentes interventions concernant la prostate notamment. Qu’il s’agisse d’une prostatectomie pour cancer ou d’une énucléation laser pour hypertrophie, la perte de la composante naturellement obstructive de la prostate peut mettre en défaut le muscle sphinctérien qu’il faudra renforcer pour assurer la retenue. Seul un faible pourcentage de patients souffre de cet effet indésirable post opératoire. En revanche, du fait d’un nombre important d’actes réalisés chaque année concernant la prostate, de nombreux hommes sont concernés. La première étape du traitement consiste en la réalisation de séance de kinésithérapie périnéale. Ce n’est qu’en cas d’inefficacité de cette méthode que le patient pourra être orientée vers une solution chirurgicale dite de continentation. Il en existe 3 différentes, correspondant toute à un profil patient particulier. Il peut s’agir de bandelette de soutènement sous urétral, de ballons pro-ACT, ou d’un sphincter urinaire artificiel. Ce dernier reste le traitement de référence en la matière à ce jour. Toutes ces procédures peuvent être réalisées en ambulatoire.
Pour en savoir plus sur le traitements :
> Mise en place de bandelette sous urétrale chez l’homme (voir le pdf)
> Mise en place de Ballons pro ACT (voir le pdf)
> Implantation d’un sphincter artificiel (voir le pdf)